Le dépistage augmente le repérage de pseudo-cancers que
l’examen microscopique ne peut distinguer d’un cancer évolutif.
Le « surdiagnostic » nuit à la santé des gens et à l’acquisition de connaissances sur cette maladie. Face à ce phénomène connu depuis plusieurs décennies, les institutions impliquées dans la recherche et les soins adoptent des logiques potentiellement conflictuelles.
Voici, à toutes fins utiles, le texte d’un exposé que j’ai récemment présenté à la Faculté de médecine de Rennes. [1]
Plusieurs échos me sont parvenus d’enseignants et de chercheurs en santé publique ainsi qu’en oncologie. Ils ont tous été positifs.
Bonne lecture et merci de vos réactions
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