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samedi 2 octobre 2010

Ecoute critique

Radio IFM... écoutez la déférence !

Leader d’opinions en médecine générale

Difficile de ne pas ressentir une profonde colère à la lecture de cette lettre adressée par une adhérente du Formindep, lectrice de la revue Prescrire, à la rédaction du site de "podcasts" médicaux Radio IFM, financée et contrôlée par Sanofi-Aventis.

Non pas, évidemment, pour la remarquable qualité de cet exercice de décryptage par le Dr FRANZIN d’une propagande publicitaire qui se pare des atouts d’une formation médicale. Quel plaisir au contraire devant tant de lucidité !

Non pas davantage pour les firmes pharmaceutiques, passées maîtresses dans l’art de la manipulation de l’information pour cacher l’absence de progrès médicamenteux, et qui utilisent avec talent les medias modernes pour diffuser leur propagande. C’est de "bonne guerre" dans un système de santé perçu comme un marché.

Même pas pour les intervenants médecins qui se mettent, une fois encore, en contravention avec la loi sur la transparence de l’information médicale en ne déclarant pas leurs liens d’intérêts avec les firmes durant cette émission.

Mais colère que les médecins soient, malgré les preuves et les faits qui abondent, encore dupes de ces manipulations dans leur immense majorité, s’y engouffrent avec naïveté et facilité, persistent à penser qu’ils sont à l’abri de ces influences grossières et qu’il savent faire la part des choses, à la grande satisfaction des actionnaires des firmes et de leur service marketing.

Colère que des médecins "dealers" d’opinions, des soi-disant "sociétés savantes" de médecine servent de caution et de relais complaisants au blanchiment d’une promotion médicamenteuse en formation médicale, augmentant le brouillage de l’information pour les soignants, accroissant le risque de prescriptions inutiles, inappropriées, dangereuses pour les patients, coûteuses pour la collectivité.

Colère enfin, et consternation, de découvrir parmi les intervenants de cette publicité déguisée, un ancien président du Collège National des Généralistes Enseignants, récent démissionnaire de celui-là pour prendre la tête du nouveau "Collège de médecine générale" qui a la prétention de se poser en référent scientifique de la médecine générale vis-à-vis des autorités de santé.

Que son président se livre à de telles collaborations créant ainsi des conflits d’intérêts incompatibles avec l’indépendance et la qualité de ses décisions [1], confirme que loin de prétendre à une quelconque représentativité scientifique, cette structure constituera surtout un nouveau vivier de leaders d’opinions généralistes, à la disposition de l’industrie pour relayer sa communication, et participera ainsi à la déchéance en cours de la médecine générale.


Dr FRANZIN Emilie
xxxxxx
32XXX XXXXXXX

Radio IFM
4 bis, rue de la Gare,
92594 Levallois-Perret Cedex

Copie pour information à :
La Revue Prescrire
Le Formindep

Madame, Monsieur,

Je suis spécialiste en Médecine Générale, thésée en 2009, remplaçante, lectrice de Prescrire depuis 2005 et adhérente au Formindep depuis 1 an.

Je pensais, en toute bonne foi, pouvoir compléter ma FMC de façon indépendante en écoutant les FMC proposées par Radio IFM, même si celle-ci bénéficie du « partenariat » de Sanofi-Aventis. Jusqu’à présent, les émissions écoutées n’avaient pas attiré mon attention.

Mais je viens d’écouter celle intitulée « Paroxystique ou permanente, la FA est à haut risque de complications » enregistrée pendant le Congrès de Médecine Générale de Nice ; dont les intervenants sont : Pr Pierre-Louis Druais (Le Port-Marly) Médecin généraliste, Dr Nicolas Lamblin (Lille) Cardiologue au CHU de Lille, Dr Christian Méresse (Douai) Médecin généraliste, Dr Jérôme Taïeb (Aix-en-Provence) Cardiologue - CHU d’Aix-en-Provence, Dr Jean-François Lemoine (Paris) Médecin-journaliste.

Comme souvent, personne ne déclare de conflit d’intérêt en début ou fin de programme. Encore beaucoup de chemin à parcourir visiblement.

Lors des discussions concernant les thérapeutiques, mon attention a été attirée par les propos du Dr Jérôme TAÏEB sous l’impulsion du Dr Jean-François Lemoine parlant d’un nouveau médicament qui « permet de réduire et ralentir » : la DRONEDARONE.
Cette nouvelle molécule permettrait de ralentir et serait prescrivable en médecine générale la seule contre-indication étant les stades III et IV de la NYHA.
Puis le Dr Nicolas LAMBLIN de préciser plus loin que « pour la première fois, une étude prouve une amélioration sur la morbi-mortalité » : l’étude ATHÉNA. Sans en préciser plus le contenu.
En conclusion, le Dr Jérôme TAÏEB d’enfoncer le clou avec des « nouveaux traitements anti-coagulants et anti-arythmiques avec un grand bénéfice pour la population ».

Ma curiosité ainsi éveillée, je suis allée vérifier leurs dires dans Prescrire, seule source dont je crois encore à l’indépendance.

Tout d’abord, la DRONEDARONE a été étudiée versus placebo. Jusque là, rien de choquant puisqu’il n’y a pas de traitement de référence dans ces indications.
Dans une première étude versus placebo, appelée ANDROMEDE [2], la population cible ne correspond pas à la médecine de premier recours (et donc pas à une possible prescription par la médecine générale avancée par le Dr TAÏEB), mais en hospitalisation, stade III et IV de la NYHA. De plus, cette étude a été stoppée à 7 mois pour surmortalité dans le groupe traité (25 décès, versus 12 décès dans le groupe placebo, p = 0,03). On comprend la contre-indication avancée par le Dr TAÏEB.
Une autre étude versus placebo, ATHÉNA [3], celle évoquée par le Dr LAMBLIN, correspond plus à la population cible de médecine générale. Les résultats sont toutefois moins francs qu’il ne le laisse entendre dans son intervention. L’incidence des décès est la même dans les 2 groupes. Il n’y a qu’une moindre incidence des hospitalisations pour affection cardiovasculaire avec la DRONEDARONE à 2 ans (29,3% versus 36,9%). Et selon la FDA, la différence statistique sur la mortalité cardiovasculaire (2,8% dans le groupe DRONEDARONE versus 4% avec p = 0,025) n’est pas fiable notamment en raison de l’absence de différence sur la mortalité globale et du petit nombre de cas rapportés.
Enfin, au cours de cette émission personne n’a évoqué l’étude DIONYSOS, une étude versus AMIODARONE (traitement souvent utilisé dans cette indication malgré ses effets indésirables en l’absence de molécule de référence) réclamée à la firme par la FDA. Cette étude montre un échec (défini par la récidive de FA ou arrêt prématuré pour intolérance ou absence d’efficacité à 12 mois) statistiquement plus fréquent avec la DRONEDARONE qu’avec l’AMIODARONE : 75,1% versus 58,8% [4].

Je ne vois donc pas en quoi, cette nouvelle molécule apporterai « un grand bénéfice pour la population ».

Pour finir, cerise sur le gâteau, la firme ayant développé ce produit miracle, mais qui a quand même mis 5 ans a obtenir une AMM restrictive aux Etats-Unis d’Amérique (suppression de la FA mais sans réduction de la mortalité), n’est autre que Sanofi-Aventis : partenaire indépendant de Radio IFM, je le rappelle.

Compte-tenu de tout ceci, je vous informe donc, par la présente, que vous venez de perdre une auditrice assidue jusque là.

Cordialement,

Dr E. FRANZIN

[1Voir également sa présence au conseil scientifique du site Aloïs.fr, site des firmes Pfizer et EISAI pour promouvoir leurs médicaments de la maladie d’Alzheimer

[2Lectures critiques Prescrire exercice n°26 : primum non nocere
Rev Prescrire 2010 ; 30 (316) ; 157

[3Dronédarone - Multaq° - Fibrillation auriculaire : trop de doutes sur les effets indésirables
Rev Prescrire 2010 ; 30 (316) ; 90-94

[4Sanofi Aventis "Multaq° - Briefing document"
12 February 2009 : 144 pages.

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  • mercredi 10 novembre 2010 - par jerome taieb Repondre

    Radio IFM... écoutez la déférence !

    Je suis à mon tour consterné d’être un peu facilement taxé de quasicorruption.
    Vous dénoncez les conflits d’intérêt, je vous renvoie à la convergence d’intérêt. Elle existe partout jusque dans votre cabinet lorsque vous remplissez une feuille maladie ...
    Vous pouvez parler d’une pathologie, en mentionnant un produit si celui ci le mérite.
    Dans le détail à présent :
    La dronedarone est le premier antiarythmique qui arrivent au bout du processus de selection impitoyable des des société savante et autorités de tutelles.
    Les études ont été menée très rigoureusement et ont permis de cerner le spectre d’action du produit
    EURIDIS et ADONIS ont montré l’efficacité sur le maintien du rythme sinusal
    ATHENA a montré l’intérêt clinique sur la morbimortalité sur 4000 pts de profil ambulatoire.
    Dans ANDROMEDA la dronedarone prescrite à des patients en insuffisance cardiaque décompensée hospitalisé, donc de profil "non médecine générale"en effet. Seul 25% étaient en FA. Il s’agissait de vérifier l’innocuité de la molécule dans ce tableau. Résultats négatifs pris en compte dans l’AMM et les recommandation.
    Enfin Dionysos demandé par la FDA n’ pas permis de mettre en évidence l’intérêt de la dronedarone face à l’amiodarone car durée trop courte donc très peu d’effet secondaires de l’amiodarone. Le temps pressait mais avec 1 ou 2 ans de plus, il est évident que la toxicité de l’amiodarone( dysthyroidie..) aurait inversé les resuktats. Dans 1 émission de radio de 45 mn nous ne pouvons être exhaustif. Il faut eviter d’etre ennuyeux L’animation du Dr LEMOINE que je rencontrais pour la première fois était très dynamique et parfaitement adapté à ce type de mise au point à mon sens.
    Vos remarques restent utile au débat mais je n’accepte pas vos accusations directes.
    Dr Jerome Taieb

    • dimanche 14 novembre 2010 - par formindep Repondre

      Radio IFM... écoutez la déférence !

      Bonjour Dr Taïeb,

      Merci de votre contribution. Il lui manque simplement de respecter la loi (article L4113-13 du CSP) en déclarant vos liens d’intérêts avec les firmes.
      Par exemple, qui vous a payé le déplacement pour l’enregistrement de cette émission et votre présence à ce congrès ?

      A quel titre vous considérez vous exempté de cette obligation de respect de la loi républicaine ?

      Promouvoir un produit sur un site créé et financé par la firme qui le vend cela s’appelle de la publicité.

      Ni plus ni moins.

      Les patients et les soignants attendent de l’information, pas de la pub, pour des soins de qualité. Le risque sanitaire de cette désinformation est avéré. Il se mesure en morbi-mortalité.

      Que cette publicité soit dissimulée n’enlève rien au fait que c’en soit, mais rajoute à la manipulation et à la malhonnêteté.

      Quant au fait d’y collaborer... C’est comme pour les autres conflits d’intérêts : la sincérité, feinte ou réelle, ne peut être une circonstance atténuante pour des professionnels. Au contraire.

    • lundi 15 novembre 2010 - par Dr FRANZIN Emilie Repondre

      Radio IFM... écoutez la déférence !

      Bonjour

      Ravie d’avoir une réponse de votre part, grâce au site du Formindep.
      N’ayant pas eu de réponse à mon courrier de la part de RadioIFM.

      Loin de moi l’idée de vous accuser de corruption, il est tellement facile de se faire prendre au piège lors d’un entretien et de faire dire aux invités ce que l’on veut.

      Merci pour les précisions que vous apportez quant aux différentes études.

      Il ne manque plus que votre déclaration de liens d’intérêts éventuels avec les firmes pharmaceutiques.

      Cordialement.

    • lundi 15 novembre 2010 - par Philippe MASQUELIER Repondre

      Radio IFM... écoutez la déférence !

      Bonjour,

      J’invite le lecteur à prendre connaissance de l’avis de la commission de transparence à propos de la dronédarone (Multaq®) qui analyse les études auxquelles se réfèrent le docteur TAIEB. Mêmes études mais conclusions différentes...

      Pour le lecteur plus pressé la synthèse de l’avis se trouve . L’ASMR est coté V c’est à dire absence d’amélioration du service médical rendu par rapport à l’amiodarone qui reste donc le médicament de référence. Et mystère des décisions le taux de remboursement de la dronédarone est malgré tout de 65%.

      Mais le débat n’est pas clos. En effet le 25 novembre 2010 au cours des XVIème assises du collège national des cardiologues des hôpitaux généraux, le laboratoire Sanofi Aventis sponsorise un déjeuner-débat sur le thème " Au coeur de la Fibrillation Auriculaire (FA) : impact en pratique des nouvelles approches anti-arythmiques". Le programme indique que le docteur TAIEB y interviendra.

      • dimanche 12 décembre 2010 - par taieb Repondre

        Radio IFM... écoutez la déférence !

        Pardon de ne répondre que tardivement . Je n’ai pas consulté le site depuis.
        En bref, j’ai participé à une émission de radio sur le thème actuel et brûlant de la fibrillation auriculaire. Cela n’est pas tombé du ciel. Cette pathologie peut être grave en cas de facteurs de risque. Ce message capital a été mentionné et j’espère qu’il est bien ( mieux ?) connu de nos collègues . Un nouveau produit antiarythmique (le premier depuis 25 ans) arrive sur le marché après une évaluation tolérance efficacité drastique (FDA). Cela aussi doit être su. Au moins pour ne pas le prescrire dans l’insuffisance cardiaque décompensée. Intérêt dans les CMH , les cardiopathies ischémiques ( SFC). C’est moins efficace que l’amiodarone. Personne ne le discute mais Le problème est la tolérance de l’amiodarone. Il faut résonner devant l’ordonnance sans oublier les dégâts de plusieurs années d’accumulation d’un produit toxique ( iode) .
        Ajoutons que la FA pourrait être considérée comme "maladie de l’année" puisque suite aux études RELY et ROCKET, vont être bientôt autorisés des anticoagulants oraux sans contrôle sanguin (2011). J’ai eu la chance d’être sollicité parmis d’autre, pour participer à la diffusion de l’information sur des produits novateurs. Je remercie ceux et celles qui m’ont fait confiance pour le faire le mieux, et le plus honnêtement possible.
        Lors du déjeuner débat des assises du CNCHG du 25/11, La salle etait comble. Nous avons pu présenter la physiopathologie de la FA vu par l’ablateur ( Dr CAUCHEMEZ). J’ai présenté une mise au point sur les nouvelles recommandations de la FA (document disponible sur le site de l’ESC que je vous recommande) et enfin une mise au point sur la dronedarone plus détaillé que dans l’émission de radio a été présentée par le Dr AMARA. Dionysos a été longuement expliquée. Nos conflits d’intérêt ont été mentionnés. C’est obligatoire au CNCH. Au congres de médecine général en revanche, ils n’avaient pas été demandés, et le format émission de radio ne se prêtait pas vraiment à cela .
        J’espère être le plus honnête possible dans la diffusion des informations même si il y a aussi au passage des bénéfices pour des sociétés qui ont investi beaucoup d’énergie pour faire avancer les thérapeutiques. Je préfère cela que les combats antigenerique type modification d’un excipient, d’une couleur, d’une association... Je crois savoir que le developpementde la dronedarone était même si complexe (effet proaryhmique des antiarythmique) que nous n’ aurons probablement pas d’autres antiarythmiques de sitôt. Cela devrait laisser une place plus importante pour l’ablation.
        Je ne consulte pas régulièrement ce site. Ceux ou celles qui souhaitent me contacter directement pourront le faire à jtaieb@ch-aix.fr.
        Salutations confraternelles à tous.
        Dr J Taieb

  • mercredi 12 janvier 2011 - par VM62 Repondre

    Radio IFM... écoutez la déférence !

    J’ai été délégué médical (nommé d’office) "référent Radio IFM"
    J’ai donc promu ce moyen d’info auprès des MG qui l’accueillaient bien , mais je n’ai jamais eu l’impression de faire une mauvaise oeuvre ; celà me paraissait bien fait et assez honnête ; peut-être ai-je été naïf sur le coup, pourtant j’étais assez critique en général et celà m’a souvent été reproché par les nains de Directeurs Régionaux, en visite médicale Qui font plus de flicage que ne leur demande d’ailleurs la Direction ; bon, pas tous !