Je vous remercie pour cet article.
Les faits que vous rapportez, nous les constatons tous les jours en médecine générale et la pression des institutions est tout aussi forte que la pression de Big Pharma.
Je me permets deux remarques. La première, c’est la prédominance masculine de cette affection, qui montre combien l’éducation de genre est très forte. Remarquons dans la vie courante et dans nos cabinets la façon dont les parents parlent avec fierté de leur fils : il est tellement speed ! La seconde : n’oubliez pas le poids de l’Education Nationale dans cette terrible faillite. (…)
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