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Antidépresseurs - la grande intoxication
par Guy HUGNET

En France, plus de cinq millions de personnes consomment des antidépresseurs. Un phénomène inquiétant que l’on doit en grande partie à une molécule devenue mythique : le PROZAC®. La « pilule du bonheur » a ouvert la voie à d’autres antidépresseurs aujourd’hui célèbres : DEROXAT®, ZOLOFT®, SEROPRAM®, FLOXYFRAL® ou EFFEXOR®.
Le succès des antidépresseurs est pourtant entaché de rumeurs, de doutes et d’interrogations.
Rumeurs sur leur implication dans des actes violents, des suicides ou des homicides, y compris chez des enfants et des adolescents.
Doutes sur leur efficacité et la légitimité de leur prescription par les médecins.
Interrogations sur leurs effets secondaires, perturbations sexuelles ou dépendance par exemple.
Autant de questions sans véritables réponses. Car l’information ne provient quasiment que d’une seule source : les laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes, juges et parties.
Il était donc temps de braquer le projecteur sur la face cachée des antidépresseurs, sur ce que les fabricants ne disent pas, sur ce que le grand public et les médecins généralistes bien souvent ignorent.
Outre des documents en grande partie inédits en France, provenant des archives américaines et françaises des firmes pharmaceutiques, l’ouvrage reproduit des témoignages de patients, des opinions de psychiatres qui rompent avec la langue de bois et le discours officiel en vigueur.
L’enquête sur les antidépresseurs la plus approfondie à ce jour en France.
Post Scriptum :
Titre : Antidépresseurs - la grande intoxication
Auteur : Guy HUGNET
Editeur : Le Cherche Midi
Collection : DOCUMENTS ET GUIDES
Genre : DOCUMENT - ACTUALITE
Date de Parution : 14/10/2004
Présentation : Broché - 216 pages - 330 g - 15 cm x 24 cm
ISBN : 2749102391 - EAN : 9782749102399
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lundi 24 juillet 2006 - par david vincent Repondre
Antidépresseurs - la grande intoxicationDans mon blog je comptabilise à mon niveau les effets secondaires des antidépresseurs, qui vont de "l’effet serpillière" à l’effet "suicidaire". Les personnes satisfaites d’en prendre ont au moins l’effet secondaire de ne jamais pouvoir l’arréter.